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Tout sest accéléré avec les techniques nouvelles, la mondialisation. On a toujours lespoir que les choses durent donc il serait tout à fait faux de ma part de dire jaurais pu penser que Je dirais que jai moi-même, du temps ou jétais en charge de Comareg, eu des hauts et des bas et on a toujours limpression que quand il y a des bas, des hauts suivront, donc on peut toujours penser que les choses sarrangeront. Suivez-vous les nouvelles technologies comme lInternet? Fait-il partie de votre vie? Oui, sans que jen sois addict, ça fait partie de mon environnement, de mon quotidien. Je ne suis pas forcément très adroit en la matière mais quand je recherche un mot, je vais autant sur internet que dans un dictionnaire. Mais je suis quand même très papier! Ce fameux virage de lInternet raté par Comareg, laviez-vous vu venir? Je me souviens très bien quil y a à peu près une quinzaine dannées, quand la question métait posée, jétais tellement papier que je disais : rien ne remplacera le papier. Jai lhonnêteté de vous dire que je nai pas eu à ce moment-là, il y a une quinzaine dannées, un flash immédiat pour tout cela. Forcément, je my suis fait ensuite. De même qualors que tel ou tel groupe a évolué, il semble que Comareg ne lait pas fait à temps, cest tout ce que je puis dire. Comment auriez-vous réagi si vous aviez été encore à la tête de lentreprise? Il y a un ancien président du conseil de la IVème République, Edgar Faure, brillantissime, qui disait : Je ne réponds jamais aux questions qui ne se posent pas. En apprenant son placement en redressement judiciaire, navez-vous pas eu lenvie folle de voler à son secours? Non. Ma page était tournée depuis plus de 20 ans. Je ne pense pas que jétais la solution la mieux adaptée. Vous navez donc pas répondu à lannonce : Groupe de presse recherche sauveteur. Expérimenté et aisé. Non, je crois que ça aurait été la plus mauvaise solution ou la moins bonne. Ces journaux avaient une identité locale très forte, du fait quils étaient ancrés dans leur territoire en portant le numéro de leur département. Est-ce que ça na pas déjà été une première erreur de les débaptiser et de leur donner le titre Paru Vendu? Je ne sais pas ce qui a motivé les dirigeants de lépoque, sans doute ont-ils voulu donner une couverture nationale à ce qui pouvait sembler disparate. Il est vrai que cest une approche qui naurait pas été la mienne car jai toujours été partisan de cette formule : Un tout est riche de la totalité de ses parties. Cest vrai pour la peinture aussi. Comment vous est venue lidée de lancer Le 38, un journal de petites annonces en 1968? Et comment avez-vous pu dupliquer le modèle? Dans lordre des choses, il y a eu de ma part dans ces années-là disons en 1967-68, lidée de créer une entreprise. Cela a été ma première étape. Jai eu envie dêtre moi-même, dirais-je. A ce moment là, javais 29 ans et ça ma démangé dessayer de voir ce que je pouvais faire par moi-même. Entre HEC et la création de Comareg, que faites-vous pendant cette dizaine dannées? Il y a eu deux ans darmée en Algérie au cours de laquelle jai été pendant 6 mois en charge des journaux pour lécole militaire. De petites choses mont marqué : limprimerie, les mises en page Ensuite, jai été 5 ans dans la société des pétroles BP, dans le domaine marketing et commercial. Entreprise que jai beaucoup appréciée dailleurs. Ensuite, jai été intéressé par ce que le Général de Gaulle appelait : le plan calcul à lépoque. Une société avait été créée pour ça qui sappelait C2I Compagnie Internationale pour linformatique ou cela ma plu de rentrer mais cétait un milieu dingénieurs où je ne me suis finalement pas senti très à laise. Et, petit à petit, a émergé lidée de me prouver à moi-même que peut être je pouvais faire quelque chose. Je dois dire que les événements de 68 mont un peu poussé. Dans quel sens? Dans le sens où tout a été remis en question à ce moment-là et, dirais-je, entre lhypothèse de mennuyer ou de protester dans cette entreprise en devenant syndicaliste par exemple. Finalement non, jai préféré devenir patron. Comment lidée de créer un journal de petites annonces, qui à lorigine était une feuille A4 recto-verso vous est-elle venue? Un, vouloir monter quelque chose. Mais plus facile à dire quà faire. Il est certain que javais un goût prononcé pour le papier. Même à HEC jétais responsable des journaux de lécole donc assez naturellement mes reflexes étaient tournés vers le papier. Dans les années 68, on voyait déjà émerger quelques feuilles distribuées en boîte aux lettres. Jétais en région parisienne à ce moment-là. Et cest là quil y a eu le tilt. Je me suis dit quil y avait quelque chose de plus industriel, de plus pensé à faire dans le domaine du journal dannonces doù cette idée dillustrer par une opération papier mon envie dentreprendre. Pourquoi Grenoble pour démarrer? Parce que je suis Stéphanois dorigine et donc du coup, bien quhabitant dans la région parisienne, je suis allé voir dans ma région de base, Rhône-Alpes. Grenoble, lannée des Jeux Olympiques, allait de lavant. Jy suis allé en septembre-octobre 68 et finalement jai décidé de plonger. Le premier 38 a dû sortir fin novembre 68. A son apogée, votre groupe compte 140 publications en France. Comment avez-vous vécu ce succès? La première partie a été un développement naturel, de lancement en Rhône-Alpes. Il y a eu une petite pause pendant que jétais à la tête du groupe Dauphiné Libéré et puis dès 1983, les décisions judiciaires ont fait que je suis sorti du dossier. Cest alors que jai repris le développement de Comareg dans la presse gratuite par voix dacquisition dun certain nombre de confrères hors Rhône-Alpes. Je vivais ça comme une sorte délan naturel. Cétait un développement qui me semblait naturel dopérer. Jessayais que ce soit aussi raisonnable que possible sur le plan financier. Mais il y avait une envie daller de lavant et de continuer à créer. Il ny a pas de doute que cest un point qui ma marqué toute ma vie. Comment arrivez-vous au Dauphiné Libéré et comment les salariés vous ont-ils accueilli? La Genèse est assez simple. En fait les difficultés que rencontraient lex groupe de Presse Progrès Dauphiné Libéré avaient amené le Dauphiné Libéré à ouvrir son capital et il sest avéré que mon intervention est apparue comme assez naturelle. En ce qui concerne laccueil, cétait évidemment un peu troublant à lépoque quun homme de presse gratuite vienne à la rescousse dun journal régional. Mais bon, mes rapports avec ce monde de la presse étant bons, je crois que, passé lespace dun moment, les choses ont été acceptées. Quant au personnel, on avait déjà de grandes proximités à Grenoble et dans la région. Je nai que de très bons souvenirs de laccueil que jai reçu. Pourquoi navoir pas persévéré? Au moment où la solution Dini a été proposée, le groupe Hersant Fournier était déjà en place. Il sen est suivi une série de conflits judiciaires que finalement je nai pas gagnés. Cest à la suite des résultats dun procès en appel en faveur du groupe Hersant Fournier que jai dû renoncer à ce dossier. Et je nai pas souhaité y rester. Jai retrouvé la Comareg et son développement. 20 ans après sa création, vous cédez Comareg au groupe Havas. Vous êtes tout juste quinqua et riche A quoi avez-vous songé à ce moment-là? Quel était votre état desprit? Vouliez-vous passer à autre chose? Oui, je crois que je peux répondre assez clairement. Dans ces années 86-87, javais le sentiment davoir atteint certaines limites. Limites financières, capacité de travail etc Javais un ressenti de choses qui étaient accomplies et de limites atteintes. Mes rapports très anciens avec le groupe Havas avec lequel javais entretenu des liens plus que cordiaux mont fait choisir ce successeur. Il y a eu une sorte de rencontre que je peux qualifier de naturelle suite au sentiment que javais moi-même de vouloir passer la main calmement. Ce qui sest fait sur trois quatre ans dailleurs. Est-ce à partir de ce moment là que vous vous lancez dans la peinture? On ne quitte pas comme ça le monde des affaires, je suis quand même resté présent mais en tant que partenaire financier dans un certain nombre de dossiers. Notamment avec les éditions Milan à Toulouse. Jétais donc toujours présent dans la presse. En loccurrence une presse spécialisée pour les enfants et les jeunes qui mintéressait et où je suis resté une quinzaine dannées ensuite. Je nai plus voulu être manager au sens commandement du quotidien. Jai voulu être un accompagnateur financier mais quand même animateur au niveau de ma société holding, prenant en compte les risques de cet accompagnement. Un autre point lié à ma personnalité, une philosophie, qui ma beaucoup motivé en 68 pour créer une entreprise comme Comareg, cest lidée de se réaliser en réalisant. Pour moi, cest important. Comment me réaliser en réalisant? Je pense que cest toujours ce que jai fait dans la vie et dont ce que jai souhaité faire en termes de peinture. Comment glissez-vous ensuite dans le monde de la peinture? Lhistoire est simple, mes parents étaient enseignants et mon père dirigeait une école normale dinstituteur qui formait les élèves maîtres parmi lesquels il y avait des professeurs de dessin. Très jeune, jai eu des rapports avec ce monde là. Ce nétait pas absent de mon environnement. Très modestement, mes parents pouvaient acheter deux, trois dessins. Il nest pas douteux ensuite que cest ma proximité avec le monde du graphisme tant dans la presse gratuite que dinformation qui ma fait me rapprocher des artistes. De même quà Lyon, par le passé, beaucoup dartistes ont travaillé pour La Fabrique, le velours et la soie. Javais été amené à mintéresser à ces créateurs hors travail, dirais-je. Et donc du coup à acquérir mais sans aucune idée rationnelle de collection. Et puis minstallant à Lyon pour le développement de Comareg, jai assez vite, en découvrant la ville, repéré les galeries, les peintures, et je suis entré dans cet autre forme de la peinture où Lyon ma effectivement beaucoup marqué où jai découvert lEcole Lyonnaise de Peinture. Jai fait mon premier véritable achat dans les années 70-71. Notons bien que tous ces achats étaient des actions désordonnées, la notion de collection est intervenue plus tard. A quelle époque démarre votre collection? Il y a une relation avec le fait quayant plus de moyens financiers, dans les années 89-90, jai sûrement accéléré mes achats dartistes rhônalpins et de ce fait jécoutais bien les commentateurs qui disaient autour de moi : Ah vous avez une belle collection!. Ce sont eux qui citaient le terme. Par la vision des autres, jai pris conscience quune collection sétait constituée. Ce dont je navais pas forcément eu la volonté. Comment procédez-vous à vos acquisitions? En galerie, chez les artistes eux-mêmes ou en salle des ventes? Jachète très majoritairement chez les galeristes et les marchands de tableaux. Ils sont de très bons passeurs et pédagogues. Une manière pour moi de garder une forme de distance et de faire des achats sereins. Jaime mieux prendre mon temps. Qui vous a aidé à constituer votre collection? A Lyon, Paul Gauzit, Olivier Houg, Madame Martin du temps de la galerie Malaval, Denise Mermillon du temps de la Galerie Saint-Georges Javais des contacts lorsquil était galeriste à Grenoble avec Antoine de Galbert qui, entre-temps, a créé la Maison Rouge à Paris. Et puis aussi deux, trois galeries parisiennes. Vous concrétisez votre passion en ouvrant le Musée Paul Dini Javais pris conscience quil y avait une collection dans les années 90-92 et de ce fait a commencé à germer chez ma femme et moi lidée que ce serait dommage que ça se perde, doù lidée denvisager une donation vis-à-vis dune collectivité publique qui sest précisée vers 1994-95. Forcément, javais une idée de la région. Je suis très sensible à cette idée de la région au sens multi local du terme sur lequel ma vie dans la presse avait joué un rôle : Le 38, Le 42, Le 73 Les éditions locales du Dauphiné Libéré, tout ça cest le même concept. Et avec les créateurs artistiques, les artistes locaux, multi locaux, dans mon esprit ça procède de la même idée. Il y a une peinture Rhône-Alpes car il y a des artistes multi locaux. Pourquoi avoir choisi Villefranche-sur-Saône? Javais en tête les différentes villes de notre région. Les trois plus grandes : Grenoble Lyon et Saint-Etienne, mais déjà équipées de grandes institutions. Les autres, Valence, Chambéry ou Annecy avaient déjà des musées marqués par leur histoire. Je me suis rendu compte que le secteur de Villefranche navait rien et en 1996 jai rencontré Jean-Jacques Pignard qui était maire de la ville à ce moment là. Et ça a été ma première proposition : la ville de Villefranche veut-elle recevoir une donation qui, à lépoque, était de 420 tableaux? Dautres donations ont suivi, et au total, au moment où nous parlons en 2011 nous avons donné 700 tableaux à la ville de Villefranche sur Saône. Le thème était très précis : donation de peintures dartistes de notre région sur une période de 150 ans depuis 1865. Le sujet était bien défini. Et après quelques semaines de réflexion, la ville a donné son feu vert pour que nous allions de lavant et la donation a été acceptée en novembre 1999. En 2001, cest louverture du musée. Quel est votre sentiment au moment où vous découvrez lécrin terminé? Villefranche sur Saône a reconfiguré un bâtiment emblématique qui était un musée qui ne fonctionnait pas, suivi, en 2005, dun second, une ancienne usine Cornil. Grâce à larchitecte Jean-Claude Rérolle qui a fait un excellent travail de rénovation. La ville a organisé un bel écrin pour les œuvres que je donnais donc jai eu un sentiment daccomplissement, de fierté et aussi parce que le musée porte mon nom. Cétait une manière de signature, finalement en tant quentrepreneur jai toujours assumé ce que jai fait dans la vie. Il a toujours fallu le signer. En plus de lidée de donation, ce musée est une idée dentreprendre! Je souhaitais une opération de donation-création. Pour montrer quil y avait un plus qui émergeait du néant, dirais-je. Et cest une entreprise qui marche Cela fait 10 ans maintenant avec des expositions temporaires et renouvelées. La fréquentation est bonne, cest un musée assez récent tout de même. 25 000 personnes par an, je crois que ça fonctionne bien et que ça rend service non seulement aux amateurs mais aux musées de la région qui, par les prêts quils nous font, sont amenés à ressortir de leurs réserves des œuvres quils nauraient pas loccasion de montrer. Et comme les sujets qui ont été mis en œuvre par la conservatrice Sylvie Carlier, la coopération avec les musées confrères sest avérée très naturelle et fructueuse. Quels sont les projets en cours et à venir pour le Musée? Je crois que notre récente donation dil y a deux ans de 200 œuvres supplémentaires qui ont mené aux 700 fait quaujourdhui ce musée dune ville de taille moyenne possède à peu près 850 pièces tout confondu. Il y a eu dautres donations après nous. Il paraît sage à tout le monde que tout cela soit digéré. Tout ne peut pas être présenté en même temps. Cest plutôt maintenant une période de digestion et de stabilisation. De plus, des expositions temporaires contribuent à lanimation du musée. Quel est le rapport affectif que vous entretenez avec vos œuvres? Et comment arrivez-vous à choisir les peintures que vous donnez au musée et celles que vous gardez? Le rapport affectif est très grand. Jéprouve un attachement à toutes ces œuvres. Je suis presque en mesure de dire pourquoi jai acheté ceci, cela. Il y a eu une sorte de coup de cœur majoritaire, jai peut être aussi voulu compléter quand la collection était finie mais je nai rien acheté à contrecœur. Il y a une fidélité aux œuvres et ma proximité avec le musée me permet de continuer à les voir souvent mieux accrochées que chez moi. Et le fait quelles soient sorties de mon patrimoine, ne ma pas posé de problème. Je suis heureux de ce partage avec la collectivité. Il y a un attachement affectif, cest un peu comme des enfants qui prennent leur indépendance, comme quand jai cédé la Comareg et quelle a pris une autre forme de vie. Pour mes œuvres, cest pareil. Elles prennent une autre forme de vie, sous la houlette dune conservatrice qui est elle-même collaboratrice de la ville de Villefranche sur Saône. Cest un musée municipal, pas une fondation. Alors que vous vous faites très discret, cest au tour de votre épouse Muguette, sénatrice, dêtre sur le devant de la scène. Elle vous ravit la vedette? Ecoutez, je crois pouvoir dire que nayant jamais forcé ma nature, je me plais dans cette forme de discrétion. Non pas que jai des choses à cacher, jai toujours assumé ce que jai fait. Et avec un nom qui est donné à un musée, on ne peut pas parler de discrétion. Mais il est vrai que je me sens très mal dans des mondanités! Et jai un âge qui me permet déviter les situations qui ne me plaisent pas. Mon épouse Muguette a toujours eu une vie politique très ancrée sur le terrain, à Ecully comme conseillère municipale, au conseil général pour le canton de Limonest et puis au Sénat depuis 2004. Cest une manière de défendre la vie multi locale, cest un peu le même sujet. Je suis ravie que mon épouse ait un épanouissement personnel. Cela a toujours été mon souhait. Cest vrai pour mes filles, mes entreprises, mes tableaux. Ca ne dérange pas votre égo dêtre désormais présenté comme le mari de Muguette? Pas du tout, car pendant un certain temps, elle a été présentée comme la femme de Paul et la conclusion de tout ça cest que depuis 55 ans nous formons un couple. Et un couple est fait pour sauto épauler. Dailleurs en physique et mécanique, cest les couples qui font tourner les moteurs! 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Βουλωμένο 25100 Αίγιο Ελλάδα Linterface est agréable à utiliser : pas de temps perdu, concentrez-vous sur vos rencontres coquines. Η συνταγή του, ανάγεται στον Παράκελσο και βρέθηκε σ ένα παλαιό χειρόγραφο, στο αρχείο του υπεραιωνόβιου Σουηδού καθηγητή της Ιατρικής Dr Samst, στις αρχές του περασμένου αιώνα.
Via LinkedIn, FrenchWeb regroupe la plus importante communauté de professionnels, entrepreneurs, experts et investisseurs francophones du numérique. Profils nombreux et inscriptions quotidienne, pour toujours rencontrer de nouveaux partenaires.
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